Description
On vous présente Philibert, notre tee-shirt en coton issu de l’agriculture bio de notre gamme Gentle Trends "Soleil" de la collection de vêtements hommes. Cette collection capsule graphique met à l’honneur notre soleil intérieur, bienveillant et réconfortant.Le fil de coton bio de notre tee-shirt homme a été filé au Portugal.L’étoffe a ensuite été tricoté à Moreuil chez notre partenaire historique. Puis il a été teint à Roanne chez un partenaire qui n’utilise aucune substance nocive pour l’homme et l’environnement (certification OEKO-TEX). Des méthodes de fabrication qui correspondent à nos valeurs et à notre idée d’une mode plus responsable.Philibert prend enfin forme à Roubaix. Ce dernier partenaire est doté d’un réel savoir-faire concernant la confection de vêtements. Il nous a accompagnés pour réaliser de belles finitions qui font de Philibert un t-shirt homme durable et solide :- Une coupe ajustée, pas trop moulante pour vous permettre d’être libre dans vos mouvements,- Un bord côte doublé et une demi-lune au niveau du col pour qu’il ne se déforme pas,- Un coton bio tout doux et léger (145g/m2) pour limiter notre impact environnemental,- Des coutures solides réalisées avec une double aiguille pour que ce t-shirt made in France dure dans le temps,Notre t-shirt pour homme Philibert supporte très bien les lavages, et garde sa forme avec le temps. Avec son grammage de 145g/m2 il est léger et peut se porter toute l’année. Vous pouvez porter Philibert avec un notre sweat Pedro gris, en fibres recyclées, et notre jean Billy. Petit point culture : Roubaix est une ville avec un passé textile important. En 1491, le comte de Flandres donne l’autorisation à la ville de Roubaix de fabriquer des tissus. Mais en vrai, cela fait déjà longtemps que les roubaisiens travaillent le textile: ils lavent, peignent et filent la laine pour compléter les revenus venant de la terre. L’arrivée de la machine à vapeur au 19ème siècle fait de Roubaix une véritable capitale de l’industrie textile, elle compte 17 filatures de coton et 50 filatures de laine. C’est à partir des années 1960 que la ville connait une crise sans précédent, ferme ses usines et se reconvertit dans la vente par correspondance et la grande distribution.
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